Quand je suis allée à Tarifa il y a quatre mois, je suis passée en coup de vent. Cette fois-ci, on a un peu plus pris le temps, et ça vaut vraiment le coup.
Coïncidence incroyable, le premier soir, dans un bar, on rencontre deux amis nancéens, Leila et Benoit (regardez le site que Leila a fait pour le chouette restaurant géorgien de Nancy, Chez Vassili). Comme c'est des vétérans de Tarifa, ils nous ont tout expliqué sur les canas et les croquetas. Miam miam.
Et le lendemain, on est parti Place du vent, pour faire une balade en bord de mer, qui s'est finie dans une étrange forêt de roseaux.
Mais malheureusement les vacances étaient trop courtes, et on a dû repartir trop tôt, beaucoup trop tôt à mon goût.
Si vous avez l'occasion, n'hésitez pas à vous enfuir à Tarifa. La ville volera votre coeur ; et si vous trainez dans le bar le plus branché, vous aurez peut-être vous aussi la chance de voir Leila, avec ses chaussures vertes...
(petit clin d'oeil à mon précédent billet : un petit chardonneret chanteur, dans la maison voisine de notre hôtel)
(Fred était malade. Mais avec un turban ça allait mieux).