Théières estropiées, désossées, démembrées, amputées d’un bec ou d’une patte (parce que, par exemple, on les a mises sur le feu sans les avoir remplies d’eau – ce qui ne m’est jamais arrivé de faire), venez vite, approchez, regardez, là, au coin de la rue, il est là.
Le docteur.
(En tout cas, aucune chance d’apercevoir ça par la fenêtre à Ouled Emgatel – et dire que j’y ai laissé toutes mes théières fatiguées…)
2 commentaires:
Marie,
Quel merveilleux blog, chaque image, commentaire me fait rêver. Merci à toi de partager tes moments d'existence.
L'inspiration au Maroc vient de la simple observation de la rue, c'est l'endroit où la vie fuse!
Bonne journée Marie
Dominique
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