Chaque retour à la campagne me rappelle les inondations, et la nuit où nous avons dormi dans le bureau, de peur que les murs de notre chambre soient emportés par le torrent infernal de boue qui déboulait de la colline.
Ce qui s’est passé ces huit derniers mois peut se lire sur les murs de la maison.
C’est une histoire un peu triste…
Une histoire douloureuse…
L’histoire de ce qu’on avait construit, qu’il allait falloir reconstruire…
L’histoire d’une maison en terre qui avait changé de visage.
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